Dans une lettre ouverte au fils d'Adolf Eichmann, Klaus, parue en 1964, G. Anders met en garde : le problème d'Eichmann n'appartient pas au passé, nous sommes tous, nous aussi, des fils d'Eichmann, du moins du monde d'Eichmann. Le monde des machines de destruction. La faute n'est pas d'être le fils de son père mais de le demeurer, par une paresse de l'esprit qui se prend pour de la piété.